Production de café au monde : un producteur, un visage

Actualité du café

Nous abordons un nouveau thème : la production du café au monde. Nous donnons un visage, un sens à tous nos petits producteurs.

Publié par Arnela le 14 janvier 2019
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Pas de certificat, pas de création de label, pas de marketing : Notre savoir-faire prouve la qualité du café, aussi bien par nos articles, nos produits, et nos voyages sur place assurant ainsi une transparence totale du produit.

Le commerce équitable

Comme déjà mentionné pour le Costa Rica, il existe une forme de commerce équitable : Carole Zbinden, notre petite productrice de café, engage du personnel à chaque saison de récolte pour la grande récolte des fèves de café. Tout en rémunérant les récolteurs, Carole garantit également autre chose. Les récolteurs de fève viennent de la ville comme saisonniers. Le chemin est long, rigoureux, et en haute altitude. Que fait Carole ? Notre productrice garantit un logement pour environ 50 personnes dans sa plantation. Il s’agit comme d’un « hôtel » pouvant héberger les récolteurs pour ainsi leur faire économiser de l’énergie, de la route, de l’argent. Tout est un sujet économique et social.

Le commerce direct, à qui profite-t-il ?

En travaillant directement avec Carole Zbinden depuis de longues années, nous avons en quelque sorte un privilège sur les variétés produites. Comme pour notre dernier achat, nous avons des variétés exclusives, puisque nous avons conclu l’achat de la récolte complète à Carole Zbinden. Un producteur satisfait, c’est aussi un torréfacteur comblé d’avoir reçu un produit unique au monde.

Le commerce direct permet au planteur de définir ses propres prix sur le café acheté. Plus d’intermédiaires se mélangent au producteur et à l’acheteur, plus l’argent et le manque d’écologie se ressentent. Avec Carole, le transfert est réalisé en quelques clics. Il s’agit non seulement de café mais d’un projet responsable réalisé au préalable aux côtés de Carole.

Saviez-vous qu’en collaborant en commerce direct, le petit producteur est mieux rémunéré à plus de 30% ? Il ne s’agit pas d’une meilleure façon de travailler, puisqu’en travaillant en coopérative, il y a des primes pour tous les intermédiaires. Tandis qu’avec un travail direct, le petit producteur établie un prix, vend son produit, reçoit son argent et continue sa plantation. Aussi simple que cela !

Nous n’avons pas besoin de label, certificats, certifications compliquées : nous nous basons uniquement sur des labels comme Max Havelaar ou bio suisse. Le reste, nous le vérifions nous-mêmes !

Le prix est établi par le producteur, prix auquel nous sommes obligés de nous adapter faute de quoi, nous ne recevrons pas nos Grands Crus. Nous apprécions les cafés provenant de lieu éthique et équitable. Nous savons qui plante, qui récolte, qui transporte, qui paie, qui torréfie et qui l’achète. Nous avons la chaîne complète : c’est ça le commerce équitable et transparent.

Très simple de vérifier la teneur de nos propos : Régulièrement, nous nous rendons sur place pour vérifier la qualité de nos Grands Crus, renouer des liens avec la plantation, discuter d’éventuelles futures variétés, ou futurs projets de plantation, qui peuvent aussi nous intéresser sous forme d’un projet responsable, effectué notamment au Costa Rica à double reprise, et au Panama. Voir plus.



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